LES DÉBATS

La place de l’artiste
14 novembre / 20h


Associations attaquées, société divisée : Agissons ensemble !
22 avril / 18h30 (salle de la Cité)


Quelle est notre école idéale ?
22 mai / 20h

Gratuit
Ouvert à toutes et tous
Buvette sur place

Le Grand Cordel MJC encourage le développement de l’esprit critique et l’apprentissage du débat. Ce lieu d’ouverture enrichit les perceptions du monde, développe la curiosité et la pensée politique.

En ce sens, nous proposons trois jeudis soir dans l’année des discussions autour d’une thématique de société. Chacun·e peut prendre la parole, partager sa pensée et entendre celle des autres, pour réfléchir et mettre en commun nos questionnements, nos propositions et nos utopies. 

Le groupe de bénévoles qui travaille à la préparation de ces soirées sera heureux d’accueillir toute personne qui voudrait participer à l’organisation de ces débats ! 

 

  • Le jeudi 14 novembre : La place de l’artiste
    « Revendiquer que les arts soient considérés comme aussi utiles à la société que le gaz et l’électricité part certainement de la meilleure intention du monde mais il faut dire une bonne fois que cela consiste à les aligner à tout jamais sur la marchandise. Je mets en question l’idéologie du service public qui consiste à faire croire au sujet citoyen et contribuable qu’un théâtre est indispensable comme l’école ou la Poste. »
    Olivier Neveux dans Contre le théâtre politique, La Fabrique éditions, 2019

 

  • Le mardi 22 mai : Associations attaquées, société divisée : Agissons ensemble !
    Intervention de Jean-Baptiste JOBARD, coordinateur du Collectif des Associations Citoyennes et auteur d’”Une Histoire des Libertés Associatives”.
    Les associations sont en danger ! Les politiques individualisantes et anti-sociales menées depuis des années pour démanteler les services publics mettent à mal toutes les structures de proximité et menacent directement le devenir du tissu associatif.

  • Le jeudi 22 mai : Quelle est notre école idéale ?
    « Le rite est un facteur de stabilisation, selon la manière dont il est conçu, il peut aussi être un moyen d’instituer du neuf. L’école est clairement un système de reproduction. Car, globalement, l’école s’inscrit dans la société telle qu’elle est actuellement. On y décèle un projet de société qui, selon moi, devrait être repensé à la racine. »
    Bernard Delvaux dans le Journal 56 de Culture & Démocratie