Restitution

Tomber les murs

Projection vidéo par la cie À Corps Rompus

Gratuit, sur inscription

VENDREDI
12
MAI

à 21h45
en extérieur
départ devant la MJC

—
Durée : 45 min
Tout public

Avec Tomber les murs, Mikaël Bernard de la compagnie À Corps Rompus souhaite explorer les imaginaires adolescents, l’intime de ces vies en plein bouleversement. Durant un stage, il leur a été proposé d’écrire des scénarios à partir de l’intime, d’un lieu clos, d’un personnage à partir de leurs propres histoires ou totalement fictionnelles. 

Ces histoires sont l’occasion de casser les codes de ce que nous pensons trop souvent être la jeunesse et pour elles et eux de développer leurs talents d’écriture, de maîtrise de l’image et du jeu d’acteur·ice, etc. Pour Parcours d’ici, nous proposons une déambulation nocturne durant laquelle seront diffusés sur les murs des habitations environnantes les court-métrages réalisés. Il se dessinera ainsi une galerie des imaginaires de la jeunesse du quartier. 

Mise en scène et bande sonore : Mikaël Bernard 
Réalisation : Paul Poncet – Le Renard Pâle 
Accompagnement littéraire : Gianni Forte 
Collaboration artistique et bande sonore : Stéphane Pisani 

Avec les films de Bernadett, Élisa, Inès, Lou, Liam 

Biographie

La compagnie À Corps Rompus est créée en 2015 avec le projet de défendre la parole d’auteur.trice.s vivant.e.s. Pour cela, la compagnie développe des actions de transmission des écritures contemporaines auprès de l’ensemble des publics sous différents formats et différentes temporalités de quelques heures à plusieurs mois.

Du côté de la création, les spectacles créés le sont principalement à partir de textes inouïs – encore jamais entendus sur scène afin de participer au renouvellement des langues et des imaginaires sur les plateaux.

Depuis sa dernière création, la compagnie initie à présent également des commandes d’écriture. Après la création de plusieurs textes d’auteurs, la compagnie s’attache à mettre en scène et en avant les récits d’autrices pour rééquilibrer la balance et que le renouvellement des imaginaires ne soient pas uniquement d’un point de vue masculin.